Inspirée par son attachement pour l’Abitibi, dont elle est originaire, ainsi que par les personnes d’exception qui ont façonné la région malgré les obstacles, la romancière Claire Bergeron a imaginé un suspens étonnant où la bienveillance et l’éthique se mêlent douloureusement à l’égoïsme et la rapacité.
Amos, 1929. Par une froide nuit de janvier, l’immeuble d’Aubert de La Durantaye, abritant trois logements et son cabinet de dentiste, est la proie des flammes. Atterrée, la foule ne peut que constater que trois personnes, dont l’assistante du docteur et son fils, n’ont pas pu fuir le brasier. Quand il apprend la terrible nouvelle, Aubert, de passage à Québec pour les funérailles de son beau-père, s’écroule, tandis que son épouse, Euphrosine, demeure de marbre. Quelle insolite voie du destin a réuni ces deux êtres aux antipodes l’un de l’autre ? Aubert est chaleureux, avide d’amour et de liberté, alors qu’Euphrosine est froide, narcissique, et vit uniquement pour parader sa fascinante beauté dans les salons huppés de la ville de Québec. D’évidence, de lourds secrets se cachent dans l’ombre de leur intimité…
Claire Bergeron a touché des lecteurs de plusieurs continents avec ses romans, notamment Sous le manteau du silence et Les amants maudits de Spirit Lake. En 2016, elle a également dirigé un collectif de nouvelles, Aimer, encore et toujours, qui présentait l’amour chez les personnes d’âge mûr sous des facettes aussi nombreuses qu’inattendues. Chaque roman représente pour l’écrivaine une nouvelle occasion de tirer de l’ombre une page méconnue de notre histoire, qu’elle sait toujours rendre captivante. www.clairebergeron.com
« Inspirée par l’Abitibi, cette belle région québécoise où elle est née, la talentueuse Claire Bergeron propose à ses fans un suspense étonnant où la droiture, la bienveillance et l’éthique s’opposent à l’égoïsme dans son nouveau roman, Sur les ruines de sa vie. Avec l’histoire d’un dentiste prénommé Aubert et de sa belle mais très narcissique épouse, Euphrosine, Claire Bergeron montre le courage des gens qui ont contribué au développement de l’Abitibi, malgré la quantité d’obstacles qu’ils ont dû surmonter. »
- Marie-France Bornais, Le Journal de Québec« Ce qu’elle fait de formidable, Claire Bergeron, c’est que ça se passe en Abitibi. Dans tous ses livres, il en est question. […] je trouve ça charmant. On apprend par exemple qu’il y avait des camps de concentration à Spirit Lake. […] Histoire d’amour, rebondissements et l’Abitibi en fond de scène. Je trouve ça génial. »
- Chrystine Brouillet, Salut Bonjour