Avec cette histoire inspirée des joies, des mystères, des inquiétudes, des fous rires et de la solidarité qui ont contribué à sa reconstruction, Michèle Plomer brode une œuvre éblouissante d’humanité. Elle nous plonge au cœur d’un tourbillon où l’ordinaire et l’extraordinaire s’entremêlent, où l’espoir est omniprésent. Ce roman dépasse le récit de survie : il se lit comme une lettre d’amour.
Les témoins d’événements chocs insistent invariablement sur l’atmosphère ordinaire, paisible même, avant le chaos. Michèle a beau fouiller sa mémoire, aucun signe avant-coureur qu’un garçon la percutera sur la route 112 ne lui vient à l’esprit. Pourtant, par ce jour gris d’avril, un très grave accident l’envoie à l’hôpital pendant cinq mois. S’il faut un village pour élever un enfant, c’est un village d’amis hauts en couleur qui se rallie autour des soignants pour aider Michèle à se reconstruire après ce face-à-face qui lui a presque coûté la vie.
Michèle Plomer a publié neuf romans salués par la critique et les lecteurs, dont Habiller le coeur et Étincelle, et a récolté de nombreuses distinctions littéraires. Elle écrit des histoires où les épreuves et les défis, ancrés dans des expériences humaines universelles, deviennent de formidables agents de transformation.
« Elle raconte cette histoire poignante, inspirante, dans un texte magnifique, à lire absolument. Un texte de survie. Un texte de vie. »
- Marie-France Bornais et Karine Vilder, Le Journal de Montréal« [...] un récit hors du commun. [...] il y a une détermination heureuse dans ce livre [...] »
- Émilie Perreault, Il restera toujours la culture« Il s’agit d’un vibrant et lumineux hommage à l’amour salvateur de ses amis — « cette amitié, cette deuxième peau qui m’accompagne et me protège, m’a aussi sauvée » —, à son caniche adoré, Bruno, fauché par le drame, ainsi qu’à l’héroïsme quotidien des équipes médicales qui l’ont soignée, réussissant l’exploit de lui éviter la paraplégie. On retrouve l’élégant écrin qu’est la plume saupoudrée d’humour de l’autrice aguerrie, des phrases belles à les relire. Se greffent en outre au récit des conversations entre jeunes et moins jeunes habitants d’Eastman, où vit Plomer, des dialogues qui ajoutent à l’humanité imprégnant le livre. ★★★★ »
- Caroline Bertrand, Le Devoir« [...] roman optimiste sur la force de la communauté. »
- Josée Lapointe, La Presse